La soif de pouvoir est immense chez les hommes politiques. Ils se battent tels des chiffonniers afin de monter sur leur piédestal et une fois sur place, il est presque impossible de les déloger. Nous avons suffisamment vu ce qui s’est passé dernièrement en Argentine, au Chili, en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Egypte, en Lybie, et en Syrie, afin de ne citer que ces pays, où nous pourrons nous rendre compte qu’il fallut des milliers de morts afin que les dictateurs cèdent leurs places. Si pour la majorité de ces pays, la tranquillité et la stabilité firent leur retour, il n’en est encore rien pour...
Certains se font remarquer en préparant et passant à l’acte avec des actions de choc, genre se promener au milieu d’un groupe de manifestants comme agents provocateurs, tels des anti-manifestants, afin de chercher et d’obtenir un leitmotiv aux camarades cherchant le même but. On ne serait point surpris d’apprendre qu’ils n’aimeraient guère que l’on leur rendre la pareille lors de leurs propres défilés. Ceci étant, la démocratie le permet peut-être, for heureusement. Ou peut-être point, car ils empêchent une partie de la population de s’exprimer, donc, si tel est le cas, il y a atteinte au sacro-saint...
Tu es venu me tourmenter dans la nuit Me faire souffrir dans mon profond sommeil Tu m’es apparu sous la forme d’un ennemi Provocant précocement mon réveil. Ô être démoniaque, maléfique et insensible Va-en loin de moi, laisse-moi me reposer Rentre dans ton enfer, dans ton monde invisible Oublie que je suis vivant, s’il te plaît ! Je suis assez vieux, j’ai déjà un certain âge Où je ne cache rien, ma vie étant sans fard Dans lequel les gens comme moi sont censés sages. Peut-être ai-je été dans la vie un peu jobard Je l’accepte, je le prends point comme outrage Mais va-t-en, s’il te plaît, ne sois...